Sujets d’écrits du concours d’agrégation externe SVT/SV-STU session 2010

Les sujets de la session 2011 sont ici

Le concours de l’agrégation externe de SVT/SV-STU se déroule du 7 avril au 9 avril 2010. Les 3 sujets sont :

– Secteur A (Biologie moléculaire et cellulaire) : Le génome des Eucaryotes
– Secteur B (Biologie des organismes et des populations) : La dispersion des organismes
– Secteur C (Sciences de la Terre et de l’Univers) : L’eau dans la dynamique de la Terre solide

Vous êtes formateurs, qu’en avez-vous pensé?
Vous êtes déjà agrégé, réagissez?
Vous l’avez passé, même question? Quelle a été votre problématique? Votre plan?
Vous le passez l’année prochaine, quel est votre avis?


Commentaire

Sujets d’écrits du concours d’agrégation externe SVT/SV-STU session 2010 — 17 commentaires

  1. Une remarque qui me vient à propos du sujet de A : il ne fallait pas confondre ADN et génome ce qui risque d’être la principale erreur que le jury rencontrera. Le deuxième principal problème est de savoir où arrêter le sujet notamment sur l’évolution du génome au cours du temps ; par exemple, fallait-il parler de la sélection artificielle?

  2. Beurk beurk ce sujet ! Espérons que les agrégatifs de cette année se sont sentis inspirés…
    De mon avis, il y a évidemment ce problème ADN-génome ; mais la difficulté principale reste de poser des limites à ce sujet : potentiellement on peut parler de tout (En vrac : découverte de l’ADN, gènes (introns, exons, séquences promotrices), les chromosomes, les séquences codantes, les séquences non codantes et leur diversité, séquences satellites, répétées, transposons, génomes nucléaires, mitochondriaux, chloroplastiques, mais aussi les plasmides chez la levure, stabilité du génome, réplication, duplications du génome et datation, variabilité du génome, diversité des tailles des génomes et paradoxe de la valeur C, variations du pourcentage des séquences codantes, les méthodes d’analyse du génome, le séquencage, les publications de plus en plus nombreuses de génomes complets et leurs apports, le problème de l’annotation des génomes, les cartes des génomes, les données de la génomique et l’analyse qui en est faite, l’empaquetage du génome, la chromatine, les modes d’expression du génome, la transcription, transmission du génome lors de la division cellulaire et à la descendance, toutes les analyses genome-wide : méthylations, compositions en CG jusqu’à l’épigénétique peut-être ?…)
    Sujet potentiellement très vaste, pour lequel il a du être difficile de poser des limites et de ne pas perdre de temps… Pour ce qui est de l’évolution des génomes au cours du temps, cela peut être mentionné à mon avis ; mais il faut aussi prendre garde : c’était un sujet de A, et non pas de B… En tout cas, moi, ce sujet ne m’inspire pas beaucoup plus que « La compartimentation cellulaire » !

  3. A propos du sujet B, le plus difficile est véritablement de cerner le sujet et de travailler la problématique. Notamment, il faut bien définir ce qu’on va entendre par dispersion des organismes : s’agit-il de la dispersion d’un organisme entier et, dans ce cas, les gamètes sont hors-sujet ou bien s’agit-il de la dispersion « spatiale et temporelle » des organismes en lien avec la pérénisation d’une espèce au quel cas, les gamètes et autres peuvent rentrer dans le sujet. De même, bien montrer qu’on voit la différence qui existe entre « dispersion » et « dissémination ».
    Sinon, je pense que c’était assez « classique »…

  4. Pour le B… est-ce que la notion de répartition spatiale des espèces n’est pas à traiter également ? je me pose la question.

    Ca me paraît certes un sujet assez classique, mais aussi très ambigü. Le but est-il de faire réfléchir les candidats, ou d’en éliminer le plus grand nombre en leur reprochant d’avoir traité le mauvais sujet ? de tels problèmes avaient déjà été constatés lors des oraux 2009, avec des leçons sur les perturbations des écosystèmes, ou des leçons sur la dissémination/dispersion… on verra bien ce que ca donnera.

    En tout cas, on voit bien que les sujets généraux sont toujours à l’ordre du jour. Reste à voir ce qui est tombé ce matin en géol.

  5. Tout d’abord merci Tristan pour cette mise en ligne efficace.
    Sinon, c’est un sujet « agrégatif » qui fait appel à des notions vues dans différents cours (du moins chez nous).
    Il se pose quand même la question de la signification de « dynamique » (est ce que le magmatisme rentre en compte; personnellement je dirais oui!).
    En tout cas ça sent le Jolivet à plein nez et on ne l’a pas vu venir!

  6. A propos du sujet C maintenant qui est plus mon domaine. Je pense que de prime abord, le sujet à dû beaucoup dérouter. Le plus difficile c’est que ce sujet fait appel aussi bien à de la dynamique interne que externe. En vrac les idées qui me viennent :

    En intro, je pense qu’il est important de rappeler les différentes propriétés de l’eau et les principaux réservoirs.

    Ensuite pour ce qui est de l’externe pur, c’est un peu érosion-altération, transport, sédimentation et diagenèse avec toutes les modalités et les précisions qu’on peut apporter en 5 heures.
    Il y a ensuite la partie « interne » du genre magmatisme de subduction, phréatomagmatisme, hydrothermalisme océanique, rôle de l’eau dans la fracturation des roches, dans les mécanismes de pression-dissolution-recristallisation, dans la différenciation magmatique (apparition de l’eau à 4,4Ga sur Terre, genese de la croute continentale, effet amphibole…)

    Un point qui sera certainement oublié par de nombreux candidats mais qui à mon avis fondent l’importance du sujet c’est en quoi l’existence d’eau permet la dynamique même qu’on connait de la Terre. C’est notamment grâce à l’eau qu’il existe un découplage lithosphère-asténosphère et donc une tectonique des plaques. On pouvait par exemple comparé à Mars et Vénus pour s’en persuader comme je l’avais fait par exemple (http://tristan.ferroir.fr/index.php/2009/03/10/correction-decrit-blanc-dagregation-svtsv-stu-origine-et-originalites-de-la-planete-terre/)

  7. Concernant le sujet de secteur B, l’intitulé semble être « classique » mais je trouve que c’est un sujet très mal choisi, surtout à cause du flou de l’énoncé.
    Tout d’abord, on oppose généralement dispersion et dissémination selon le type de structures concernées: dissémination de graines / dispersion du pollen (dans le cas des plantes) donc la dissémination concerne une structure qui peut donner un individu directement alors que la dispersion non! Ceci dit, le sujet est « dispersion des organismes » ce qui peut être interprété comme un non-sens ! Sauf si l’on considère que ce mot « dispersion » est à prendre au sens « géographique » et à ce moment-là, les graines comme le pollen (et autres) sont responsable de la dispersion des organismes…
    Autre problème: l’an dernier au concours, il y avait un oral de secteur B intitulé « La dispersion chez les Végétaux (à l’exclusion du pollen) » et les documents concernaient des graines et des structures de reproduction asexuée ! Alors là on frise un peu le ridicule étant donné que la dispersion est sensée justement concerner le pollen alors que pour les graines, on devrait parler de dissémination… En revanche, il y avait aussi une leçon intitulée « La dissémination: spores, graines et fruits »… donc au final, le pollen n’est concerné ni par la dissémination, ni par la dispersion alors?
    En un mot, il s’agit bien ici d’une « connerie » consistant à jouer sur les mots et inventer des définitions qu’on veut faire passer pour ultra-strictes alors que finalement… non, ça ne marche pas !
    Espérons seulement que le jury ne se fixe pas sur cette définition très stricte. Personnellement, pour ce sujet d’écrit, je pense que le pire est de mettre de trop grosses limites, il faut probablement parler de graines, de fruits, de spores, de pollen, de spermatozoïdes, d’ovules, de fragmentation, etc. Et puis aussi des animaux qui se dispersent lors de leur vie post-embryonnaire… (migration, etc.).

  8. Juste pour vous donner quelques impressions sur ces trois jours.
    Secteur A « le génome des Eucaryotes » j’ai perdu beaucoup de temps à savoir si l’expression des gènes entraient ou non dans le sujet et finalement j’ai pas écrit beaucoup et je n’ai pas eu le temps de finir alors que j’avais pleins de choses à dire. Bilan je suis rentrée déçue de ce que j’avais rendu.
    I) structure du génome des eucaryotes
    II) expression du génome (baclé)
    III) stabilité et variabilité (non fini)

    Secteur B « la dispersion des organismes » problème de définition. quelle différence entre dispersion et dissémination? de quoi faut il parler à part des stratégies de dispersion? plan difficile à trouver.
    I) les stratégies de dispersion
    II)les limites de la dispersion
    III) coûts et bénéfices

    Secteur C « l’eau dans la dynamique de la Terre solide »
    I) érosion altération
    II) l’eau dans la lithosphère océanique (hydrothermalisme, déshydratation)
    III) l’eau dans le manteau (fusion partielle des zones de subduction, l’eau nécessaire à la convection)

    j’ai peu écrit environ 20 pages pour chaque sujet. je suis vraiment déçu du secteur A. pas sur que ce soit suffisant tout ça…

  9. Sur le secteur A, j’avoue que j’ai eu exactement la même réflexion que vous, la délimitation du sujet. Toujours est-il que j’ai fait un plan en 3 parties, qui je le pense est incomplet sur pas mal de points mais bon. J’ai commencé avec l’évolution des génomes, avec l’apparition des cellules eucaryotes, j’en ai profité donc pour parler entre autres de l’ADN mitochondrial et chloroplastique, puis j’ai enchaîné sur une partie « transmission du génome eucaryote » avec la réplication dans le cycle cellulaire et la transmission à la descendance et j’ai terminé sur une partie « l’expression du génome eucaryote et sa régulation » avec la transcription, traduction, et tout l’aspect régulation aussi bien au niveau des séquences régulatrices que de la structure du génome eucaryote. j’ai fini juste à temps avec environ 30 pages mais je n’ai pas parlé des aspects techniques d’étude des génomes et des apports sur les connaissances de la structure du génome, son évolution ou encore le fonctionnement des organismes, sauf un peu dans les parties que j’ai mentionnées mais bon c’est resté succinct. Le gros souci a été pour moi de me demander régulièrement si certains aspects du génome eucaryote valables aussi pour les autres génomes devaient être mentionnés ou exclus… Bref on fera mieux l’année prochaine !
    Sinon pour répondre à Marine, il me semble que l’expression des gènes devait être traitée puisque les gènes font partie du génome et que leur expression a des particularités chez les eucaryotes qui diffèrent par certains aspects de celle des procaryotes. Bon après, c’est un sujet tellement vaste que j’ai envie de dire que ce ne sont pas les connaissances qui sont limitantes c’est le temps !

  10. Comme j’ai du m’y coller à nouveau cette année voici quelques impressions. Pour moi ça a mal commencé avec le sujet de A. Très large j’ai eu du mal à gérer mon temps (j’ai fait très peu de schémas), surtout que je n’avais pas fait l’exercice de l’écrit depuis un bout de temps… J’ai fait une première partie sur les méthodes d’étude et la structure, la localisation du génome. Ensuite j’ai parlé de son rôle (codant et non codant), de la découverte et de la discussion de la notion de gène, de l’expression des gènes et de sa régulation, de la différenciation cellulaire, des éléments génétiques mobiles. En 3e partie: stabilité et évolution: transmission lors de la mitose, méiose, types de variation (ponctuelles, chromosomiques…), causes (endogènes ou exogènes: erreurs de réplication, UV, virus…), systèmes de réparation des erreurs et surveillance. Et une toute partie partie très incomplète « la manipulation du génome eucaryote par l’homme.
    Secteur B: j’ai eu du mal à faire mon choix pour la définition de « dispersion », comme cela concernait les organismes j’ai choisi de traité tout ce qui permettait à une nouvelle génération de s’éloigner de la précédente.
    I. Des structures de dispersion variées à différents stades des cycles de vie
    II. Des structures adaptées au vecteur de transport
    III. Contraintes et conditions (stratégies différentes (r/K), les signaux temporels et spatiaux, l’autonomie des structures de dispersion
    IV. Les intérêts (colonisation d’un nouveau milieu, stress abiotiques et biotiques, cycles parasitaires et symbiose…)

    Secteur C: L’ayant déjà traité un sujet très similaire l’année dernière (merci la prépa!) je pense m’en être assez bien sortie même si j’ai quelques regrets (mais je ne dois pas être la seule!)
    I. L’eau sur Terre (propriétés, localisation, cycles, origine)
    II. L’eau et la dynamique externe de la Terre solide (érosion/altération des roches carbonatées et silicatées, paramètres régulant le transport/dépôt, diagenèse)
    III. L’eau et la dynamique interne de la Terre solide: rôles dans le métamorphisme (métasomatisme, augmenter la cinétique des réactions, hydrothermalisme) magmatisme (fusion hydratée, pression de gaz et dynamique des éruptions, effet amphibole…)

    Voilà j’ai un peu peur que le A m’empêche de passer, espérons que comme l’année dernière le C me sauve la mise!

  11. Voici mes plans

    Section A :

    I- Localisation et organisation du génome
    II- Expression et régulation du génome
    III- Transmission du génome

    Section B

    I- Modalités de la dispersion
    (cellules reproductrices, semences)
    II- Modalités de la reproduction
    III- Avantages et inconvénients des divers modes reproductifs (mitose et fort potentiel quantitatif / méiose et fort potentiel quantitatif (stratégie r) et qualitatif (novateur).

    Secteur C

    I- Origine de l’eau et son importance dans la dynamique interne (merci à vous pour vos corrigés mis en ligne)
    II- L’action de l’eau sur les roches (érosion, sédim et conséquences (mouvements verticaux) + eau/L.O (métamorphisme hydro + épaississement + augmentation densité)

    III- L’eau et le volcanisme en zone de subduction

    (déshydratation + hydratation coin du manteau + fusion partielle).

    Je n’ai plus passé l’agreg ext depuis 7 ans (j’ai raté l’interne à cause de la pédagogie, du coup je l’ai tenté cette année). Je n’ai plus trop l’habitude aussi toutes vos remarques seront les bien venues.

    Cordialement,

    Franck Pichot

  12. Je suis enseignante en collège, je n’ai jamais suivi de prépa ni capes ni agrég et cela fait 4 ans que j’ai été admissible, dur pour moi d’être précise dans les sujets, compte tenu que les détails sont loin déjà.
    Je trouve effectivement le sujet A beaucoup trop vaste, où m’arrêter?
    Voici mon plan
    I/ Localisation et organisation du génome
    II/ Expression et régulation
    III/ Transmission
    A chaque fois j’ai essayé de fournir des preuves expérimentales mais je n’ai que peu abordé les séquences hautement répétées et n’ai pas traité de l’aspect évolutif.
    Sujet B: Mêmes remarques que les autres candidats, j’ai plus insisté sur les statégies de dispersion en fonction des contraintes de chaque milieu, j’ai terminé par un aspect plus écologique
    I/ Dispersion en milieu aquatique
    II/ Dispersion en milieu terrestre
    III/ Contraintes du milieu, …( ecologie)
    J’ai surtout appuyé mon propos sur des exemples mais j’ai oublié de parler de l’homme avec des exemples d’introduction d’espèce !!!

    Sujet C, très rageant pour moi car mon niveau de géol était bien meilleur il y a 4 ans, j’ai oublié de détailler les propriétés de l’eau, en intro j’ai rapidement parlé de l’origine de l’eau, des 3 états mais je n’ai pas abordé les réservoirs. J’ai intégré les cycle interne et externe de l’eau à mes propos des paragraphes
    I/ L’eau et la dynamique magmatique
    II/L’eau et la dynamique sédimentaire
    III/ L’eau le métamorphisme
    En gros voici mon plan mais je ne sais plus exactement l’intitulé.

    Dur de s’y remettre, des sujets assez classiques mais vastes à la fois. Attendons l’agrég interne maintenant, les résultats écrits me donneront toujours un aperçu de l’état actuel des souvenirs de FAC.

  13. Bonjour,

    je voudrais savoir quelle est la différence entre dispersion et dissémination. J’ai un doute maintenant.

    Merci

    Franck

  14. Bonjour, aussi.
    Moi aussi, je pense que si c’était un sujet sur la dissémination, on aurait employé le terme dans l’intitulé. Est-ce que la dispersion ne concerne que la répartion de populations d’espèces dans un milieu ? Dans la dissémination, il y aussi la dispersion d’individus de la même espèce, c’est-à-drie de générations. Difficile de cerner la priorité dans ce sujet….. . Si quelqu’un maîtrise bien le sujet, il serait intéressant d’avoir quelques pistes et pouvoir prendre du recul.

    Merci

  15. Concernant cette distinction entre dispersion et dissémination… cf. mon commentaire plus haut.
    Traditionnellement, on parle de dissémination de ce qui peut redonner directement un individu (graine, spore, zygote…) alors que la dispersion concerne des structures qui ne peuvent pas redonner un individu (pollen, gamètes…) ==> on ne peut donc pas, pour ce sujet d’écrit, prendre la définition stricte de dispersion puisque ce serait un contre-sens (il faudrait parler de dissémination des organismes). C’est pourquoi je pense que le sujet demandait de parler de la dispersion au sens large, c’est à dire tout ce qui permet à une espèce de se disperser dans le milieu (donc cela prend en compte les mécanismes précis de dissémination et dispersion au sens strict mais aussi les causes et conséquences de la dispersion, les contraintes écologiques et je ne sais quoi d’autre…).

  16. Voici le début de mon introduction pour aborder la dispersion :

    Selon Buffon, 1748 la reproduction correspond à la propriété commune aux êtres vivants de produire leur semblables. A cette idée de pérennité des espèces dans le temps, il faut ajouter la possibilité du maintien de ces espèces dans l’espace et donc de leur dispersion…

    Qu’en pensez-vous ?

    Rq: Je trouve que cette initiative est excellente. Même s’il y a moins de commentaires que prévus, ils sont extrêmement importants pour nous. Merci Mr. Ferroir

  17. J’aurai pas aimé être un candidat à l’agreg cette année. Plutot géologue dans l’âme et la formation, le sujet B me laisse très très perplexe. Je ne sais même pas si j’aurais fait la différence avec la dissémination… Le sujet A est classique et traitable mais il est difficile de se distinguer avec un sujet pareil de la masse des copies.

    Le sujet de géologie est également compliqué. On reconnait en effet Jolivet mais il faut être un peu au courant (il y avait un article dans pour la Science là dessus l’année où j’ai passé le concours soit en 2008 signé… Jolivet). Cela dit, c’est un bon sujet pour les géologues un peu avertis pour se distinguer mais un moins bon pour les autres… Au delà même de l’aspect métamorphisme et magmatisme, le point fondamental à démontrer est que l’eau est probablement l’origine même de la tectonique des plaques sur Terre en permettant la formation de l’asthénosphère. L’absence d’eau expliquerait l’inexistence d’une tectonique des plaques sur Vénus et sur Mars. Un peu de planétologie comparée serait pas mal. C’était il me semble la conclusion du papier de pour la Science mais je ne l’ai pas sous les yeux. C’est juste une suggestion.

    En tout cas merci encore pour le site. Une semaine (ou deux?) après l’agrégation c’est le seul ou on trouve facilement les sujets et le premier sur lequel je vais…

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